dimanche 10 septembre 2017

Ambiance automnale, pour les athlètes de la 39ème Course des Remparts de Provins

Des obligations, des engagements, des choix, un ensemble de choses m'amenant à déterminer des priorités, autant d'éléments qui m'ont conduit à ne pas répondre aux invitations habituelles concernant des événements qui me tiennent toujours à cœur et qui font la vie de notre ruralité. Ceci durant toute cette dernière année et peut-être plus particulièrement durant ce mois d'août, même si depuis quelques semaines, mon horizon semble s'être un peu dégagé.

Je sais gré néanmoins à tous ceux qui de leur côté ont continué de me donner signes de vie et attendent de partager des jours plus fastes d'une façon ou d'une autre. Il faut dire aussi que lorsque l'on arrive, en fin de ce dernier mois de période estivale, à renoncer à faire un petit tour à la Fête de la Moisson ou à la commémoration de la Libération de Provins au monument de la Résistance boulevard d'Aligre et à l'hommage rendu, comme toutes les fins d'été, aux Fusillés d'août 1944 de Chalautre la Petite, vous vous dites alors qu'il est temps de reprendre un peu du poil de la bête.
Pour relancer la mécanique, voici quelques photos de la 39ème Course des Remparts à laquelle nous avons pu nous rendre ce matin, photos préliminaires dans l'ordre de la prise de vues, pour la circonstance, et l'on ne s'étonnera pas de voir en premier chef celles de deux animaux familiers, ceux qui partagent le quotidien de ceux qu'ils aiment et qui les aiment: ''Gaston'', transfuge de La Réunion où il était destiné à servir d'apat pour une pêche aux requins qui avec son maître qui l'a recueilli faisait sa petite balade matinale et ''Enjy'' qui, avec ce jeune couple a montré son enthousiasme pendant le passage d'une bonne moitié des coureurs des 6 kilomètres, au croisement de la rue Félix Bourquelot et du boulevard du général Plessier et de son prolongement, le boulevard Pasteur.
Suivra la photo de ce Provinois revenu sur ses terres d'origine depuis une vingtaine d'années et qui, en attendant le passage des premiers athlètes exprimait, ses bâtons de marche aux mains, son regret de ne plus pouvoir courir et ne plus marcher que difficilement: né en 1940, il avait connu les dernières années de la guerre d'Algérie, avait travaillé toute sa vie et connaissait depuis quelques temps des problèmes articulaires... Il n'empêche qu'il avait plaisir à voir courir les autres!

Puis, bien sûr, nos premières photos des premiers compétiteurs de la première course de 6 kilomètres dont le départ venait, vingt minutes plu tôt, d'être donné place Saint Ayoul. D'autres devraient suivre sur notre blog ou sur notre page Facebook, ces jours à venir...




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