mercredi 6 janvier 2016

Quand la nature nous parle et reprend ses droits…

Comme l’affirme Philippe Obrecht, notre contemporain voisin de Bourgogne, ‘‘Rien de tel que des amis à la maison pour enlever les araignées au plafond’’. Facebook par le truchement duquel Catherine Delmare nous sensibilise, comme elle le fut elle-même par Natacha Roche Fontaine sollicitée de son côté par Marie-Pierre Carl-Hentzien, peut selon l’usage qu’on en fait, être cette maison de la nature et de la photographie où se rejoignent des amis.
D’une certaine façon, voilà une touchante façon de tisser une toile, de renforcer des liens.
Après cette superbe coccinelle que Catherine nous permet de contempler, faisant corps avec liens végétal et métallique, nous proposons pour notre première photo, dame araignée qui s’est prêtée à la photo, sur ce pétale dont la chaleur de l’hiver a prolongé la vie.
Non sans penser à cette citations de l’académicien et prix Nobel François Mauriac issu du Bordelais: “Nous tissons notre destin, nous le tirons de nous, comme l'araignée sa toile.”

La nature parle, comme le disait déjà Victor Hugo qui faisait alors le constat que le genre humain ne l’écoute pas. À travers Catherine et ses amies, la nature nous invite à l’écouter, tous sens conjugués.

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