dimanche 9 février 2014

Et ce téléphon, qui son, qui son…

À quel saint se vouer? De la Saint Gaston au ‘‘téléphon qui son’’ à la Sainte Apolline de ce dimanche 9 février, il y eut Sainte Eugénie et toujours la pluie, et Sainte Jacqueline et ce temps qui fait grise mine.

Cette sainte d’Alexandrie appelée aussi Apollonie, remet les pendules à l’heure en nous offrant pour ce repos dominical, un soleil de bon aloi. Il est vrai que cette martyre, refusant de renier son dieu, s’était jetée d’elle-même dans les flammes où l’on menaçait de la précipiter, alors qu’on lui avait déjà brisé ou arraché toutes les dents. C’était au début de notre ère. Depuis, elle est devenue la patronne des dentistes.
(Au passage, ces derniers auraient pu attendre une huitaine de jours pour leur grève et la faire coïncider avec le jour anniversaire de la fête de leur sainte… Non ! Pas cool ? Bon d’accord, faire grève un dimanche… Mais alors, pour changer, peut-être en signe de revendication, travailler le dimanche ? Non plus ? Bon, mais c’est vrai aussi, que nous sommes tous un peu sur les dents… Vivement demain et la Saint Arnaud !)

La citation du jour

C’est une supplique d’Aimé Césaire qui nous est proposée pour ce dimanche 9 février ‘‘Faites de moi un homme d’initiative, faites de moi un homme de recueillement, mais faites aussi de moi un homme d’ensemencement’’.
- Pour la petite histoire, il se trouve qu’alors que nous échangions mardi dernier, avec MM Petitpas et Navarro, juste avant qu’au cinéma Le Rexy, ce dernier n’intervienne pour annoncer la projection du film ‘‘Dans l’ombre de Marie’’, dans le cadre de l’opération rotarienne en faveur de la recherche sur les maladies du cerveau, il était question de leur association et du Collectif Alzheimer. Nous disions entre autres que nous avions la chance d’être au cœur d’un réseau de gens solidaires et de bonne volonté, au service des autres. Et que l’impact actuel au plan local de ces associations, résultait du fait que depuis de longues années, ceux qui en avaient été les acteurs avaient su pratiquer de bons ensemencements. (Sous le contrôle de l’agriculteur qu’est Henry Petitpas, cela allait de soi, comme le faisait remarquer Robert Navarro…)

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