lundi 25 avril 2011

Pâques: pas cap ? Pas que… Mais si, mais si! Pourquoi pas?

En premier, se demandent certains, il y eut l’œuf, ou bien la poule? Heureusement, cela n’a pas empêché d’autres d’être là, ce dimanche matin de Pâques. Pas que là pour être là, pas las au point de n’être, mais sur le pont, au niveau des préparatifs, de l’organisation, de l’accueil des enfants et de leurs parents, de l’animation et de la conduite des choses.

À bâbord comme à tribord, étaient à la manœuvre, des élus zélés comme les Dané, Chabozy ou Lafontaine (d’autres élus ailés pouvaient avoir pris le large…). À l’œuvre aussi, des équipiers toujours présents pour un service à rendre, comme les dames Pittilloni, Lafontaine ou Chabozy, sans oublier Jean-Pierre Pittilloni à la fois présent, discret et efficace.

De leur côté, les enfants, sous l’œil attentionné de leurs parents écumaient joyeusement l’espace vert du parc de la mairie, émergeant comme autant de bouchons sur les vagues, d’un buisson, d’un petit bosquet ou de derrière un arbre. (On aura apprécié au passage, les espaces naturels préservés de la tonte qui, pour être nécessaire au bon entretient d’une commune, permet lorsqu’elle laisse certaines aires en attente, autour de certains arbres ou en bordure du ru, de voir pousser des espèces végétales et florales dites sauvages, mais qui sont indispensables à une bonne pollinisation par la présence des insectes et par voie de conséquence, à de bonnes fructifications. Ce dimanche matin de Pâques, ce sont les Flavie, les Timéo, les Amélie… et autres, qui se sont transformées en abeilles butineuses… Le bourdon de service étant, ni plus ni moins que Patrick qui mettant en tout bien tout honneur la main au panier (… à la corbeille en osier, d’accord, remplie d’œufs en chocolat du Conseil général…), devançait les enfants en dispersant son butin que ces derniers traquaient joyeusement.

Entre temps, enthousiasmé par autant de petits bonheurs simples et de bon aloi, le soleil qui au départ donnait l’impression d’arriver sur la pointe des pieds, ou comme marchant sur des œufs, y alla de bon cœur! Il permit aux animations, aux jeux, auxquels s’étaient collés Olivier et quelques parents, de se dérouler dans une bonne humeur contagieuse. Pour couronner le tout, jus de fruits, café et tranches de brioches contribuèrent à prolonger ce moment de détente et de convivialité et d’échanger en toute simplicité.

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