vendredi 1 octobre 2010

Unanimité autour de l’Orchestre d’Harmonie de Provins.

Sri Krishna, qu’on pourrait considérer comme un sage oriental disait qu’écouter de la musique, c’était débarrasser son cœur de ses poussières…



C’est vrai que la musique ne connaît pas de frontières et au-delà des paroles, peut être considérée comme un langage universel. Ce vendredi, dans l’église de Saint Brice, ce sont les musiciens de l’Orchestre d’Harmonie de Provins qui, devant un public en nombre, furent les interprètes de ce langage, sous la direction de Jean-Jacques Moity.
D’entrée de concert, l’on bouta les poussières hors de l’église avec l’interprétation du Jeanne d’Arc (Jovanna d’Arco) de Giuseppe Verdi, un morceau aux accents vigoureux. Les musiciens continuèrent avec John Williams et cet air qui fut l’axe musical du film « La liste de Schindler », puis avec les Danses hongroises 5 et 6 de Johannes Brahms, une Nocturne de Frédéric Chopin et le final de la 5ème symphonie de Ludwig Van Beethoven.

Rythmes contemporains.
Après la pause, musiques de films, musiques du soleil, du mouvement, du rythme avec des morceaux contemporains qui de l’aveu de certaines personnes leur ont mis des fourmis dans les jambes. Pour notre part, nous avons eu un faible pour le concerto d’Aranjuez, de Joaquin Rodrigo, peut-être parce que cette musique nous avait baignés il y a de cela une quarantaine d’année, interprétée alors par Jean-Christian Michel, cet artiste qui l’avait jouée à la clarinette, dans les églises.

- Pour l’heure, nous avons sélectionné trois photos représentant l’orchestre, le public et à la trompette, dans un solo, la présidenteCarole Glusek.

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